Le Conseil d’Administration (Executive Board) du FMI a décidé, le 1er décembre, d’inclure le Renminbi, la monnaie chinoise, dans le panier de monnaies utilisées pour calculer la valeur des « droits de tirage spéciaux » (DTS). Cette décision prendra effet à compter du 1er octobre 2016.
La mise en œuvre d’un mécanisme multilatéral quasi-juridictionnel de restructuration des dettes souveraines que l’ONU appelle de ses vœux, est illusoire. Néanmoins, des avancées pourraient être réalisés dans différentes voies : amélioration des clauses contractuelles des émissions obligataires ; introduction de nouvelles clauses de reprofilage automatique des dettes ; utilisation des financements internationaux comme levier.
La Réserve Fédérale a encore reporté lors de sa réunion de septembre sa décision de sortie de la politique monétaire de taux zéro pourtant maintes fois annoncée. Mais finalement, la question du comment sortira-t-on de cette politique n'est elle pas plus importante que celle du quand ?
La décision de faire évoluer le régime de change du renminbi prise par les autorités chinoises au début du mois d’août constituerait moins une réponse au ralentissement de l’économie qu’une étape dans la poursuite, envers et contre tout, d’un agenda de libéralisation financière audacieux mais risqué.
Les pays de la zone Euro ont beaucoup insisté pour que le FMI apporte des financements dérogatoires à la Grèce, on le leur rappellera à l’heure des comptes.
Il est temps de faire le point. Après une enfance (presque) paisible sous l’égide de son premier président, le Néerlandais Wim Duisemberg, la Banque centrale européenne (BCE) a traversé des épreuves qui ont trempé son caractère.
Depuis le début de 2015, la BCE s’est engagée sur la voie des rachats de titres de dette sur le marché, imitant ainsi la Fed qui avait, dés le début de la crise, pratiqué ces opérations sur une grande échelle.
Le ralliement récent de grands pays occidentaux au projet de banque asiatique de financement des infrastructures illustre la pertinence de l’analogie entre la diplomatie chinoise et le jeu de Go – qui vise à patiemment placer des pions pour étouffer ses adversaires et conquérir des territoires.
Crude oil price volatility is often viewed as reflecting uncertainty not only related to the oil market, but also to the global macroeconomic environment. However, the question arises as to whether uncertainty is not likely to be at play without generating high volatility on the oil market.
Billet du 20 avril 2015 Par Urszula Szczerbowicz, Natacha Valla
La BCE achètera mille milliards d’euros de titres de créance publics et privés d’ici septembre 2016. Ce programme d'assouplissement quantitatif pourrait faciliter le financement des projets d'investissement européens et des activités du secteur privé porteuses de croissance.
L’annonce par la Chine de la création d’une banque de développement multilatéral a eu un retentissement médiatique considérable. La démarche s’inscrit dans son souci de peser davantage dans les grandes institutions financières internationales.
Billet du 24 mars 2015 Par Urszula Szczerbowicz, Natacha Valla
The ECB will purchase a monthly €60bn of private and public debt instruments between March 2015 and September 2016 – a total worth over €1 trillion. While the timing and size of purchases are known, there is more leeway than it seems in the way purchases are allocated to each category of assets.
Alors que la Vème République débute avec une situation financière saine, la dette publique a été multipliée par plus de vingt 55 ans après. Elle est ainsi passée de 20 % à près de 100 % du PIB.
Au cours des deux dernières décennies, les États-Unis, mais également plusieurs pays européens, ont connu une forte hausse simultanée des inégalités et du crédit. Les inégalités ont elles joué un rôle dans la dynamique de l’endettement des ménages et sont-elles un facteur de crises financières ?
L’inéluctable restructuration de la dette grecque conduira soit à un transfert de charges vers les États membres de la zone Euro, soit à un abandon au moins partiel par le FMI et/ou la BCE de leur statut de créanciers privilégiés.
The ECB has announced that it will launch in March its first round of quantitative easing. The announcement contains some good and bad surprises: the size of the ECB's plan is gigantic, while the Central Bank was unclear about the Greek issue. How was this announcement perceived by markets?
Billet du 16 janvier 2015 Par Urszula Szczerbowicz
La Banque nationale suisse a abandonné le cours plancher du franc suisse le 14 janvier, ce qui a entraîné l’appréciation du franc vis-à-vis de l’euro. Cette annonce précède la très attendue décision de la BCE sur le Quantitative Easing. Quelles en sont les raisons et les implications ?
En dépit de conditions très avantageuses, la demande de crédit est atone dans tous les domaines en France. Mais l’offre des banques manque elle-même de vigueur.
Billet du 9 janvier 2015 Par Urszula Szczerbowicz, Natacha Valla
Instead of buying sovereign debt, the ECB could broaden further its purchases to include equity of all sorts. Fuelling an equity bubble is no worse than fuelling a bond one. It can be mitigated by intervening secretly and including non listed securities. Inhibitions to take risk should be lifted.
Billet du 23 décembre 2014 Par Urszula Szczerbowicz
Les politiques monétaires non-conventionnelles mises en place par la BCE, centrées sur l’apport des liquidités supplémentaires aux banques, ont-elles permis de relancer le crédit en zone euro ?
Billet du 22 décembre 2014 Par Farid Toubal, Ronald B. Davies, Julien Martin, Mathieu Parenti
Une étude récente révèle que l’utilisation des prix de transfert à des fins d’optimisation fiscale concerne les exportations d’une poignée de très grandes entreprises vers un nombre réduit de paradis fiscaux. Les pertes en termes de recettes fiscales potentielles sont néanmoins substantielles.
Billet du 4 décembre 2014 Par Urszula Szczerbowicz
En évoquant la possibilité d’achats d’obligations souveraines, la BCE confirme sa détermination à contrer le risque de déflation en zone euro. Cependant, la banque centrale se trouve confrontée à l’hétérogénéité de la zone et à la nécessité de compromis qui pourraient mettre en jeu l’efficacité de son action.
Après une contraction trimestrielle de 7,3 % en rythme annualisé au second trimestre 2014, liée au passage de la TVA de 5 % à 8 % en avril dernier, un rebond du PIB réel supérieur à 2 % était attendu au troisième trimestre. Si bien que son recul de 1,6 % replongeant l’économie japonaise dans la récession a pris les analystes de court.
Longtemps attendu par nombre de décideurs publics, le mouvement de dépréciation de l’euro semble bien enclenché depuis le printemps. Il y a tout lieu de penser qu’il est appelé à durer un certain temps encore, et aura des effets positifs sur la croissance de la zone.
Les résultats des stress tests imposés par la BCE à 130 banques de la zone euro ont dans l’ensemble été favorablement interprétés puisque, officiellement, 25 banques seulement avaient des fonds propres jugés insuffisants pour faire face aux chocs imaginés par les régulateurs.
European policymakers are currently busy addressing two issues: moribund investment and banks on extended sick leave. Some observers might be tempted to segregate these issues. While investment would be in the remit of States, the financial health of our economies would be under the responsibility of the ECB alone.
Billet du 11 septembre 2014 Par Evelyne Dourille-Feer
Le Premier ministre Shinzo Abe a fait de la lutte contre la déflation sa priorité pour « remettre le Japon sur pied ». Dans le contexte d’une zone euro où l’indice des prix à la consommation a atteint le niveau alarmant de 0,3 % en août 2014, quelles leçons peut-on tirer de l’expérience japonaise ?
La zone euro ne parvient pas à retrouver le chemin de la croissance 6 ans après la Grande Récession et ne retrouvera pas de croissance viable tant que le marché du crédit restera en berne. La comparaison avec les États-Unis est particulièrement éclairante pour comprendre cette situation.
70 ans après les accords de Bretton-Woods, l’ordre monétaire international hésite toujours entre hégémonie et compromis mais il n’est plus question de « système ».
Some five years after the severe recession of 2009, private sector investment in Europe is still dangerously sluggish. And public investment has been cut further, reinforcing a long term downward trend. At a mere 2% of GDP, it has halved over thirty years.
Kenneth Rogoff propose une alternative à l'inflation pour diminuer le taux d'intérêt réel lorsque les taux d'intérêt nominaux sont à zéro : supprimer la monnaie. Cette idée pourrait être plus risquée qu'il ne l'envisage et ne serait pas forcément opportune aujourd'hui.
Les critiques que l’action de l’institution suscite amènent un programme de réformes assez décoiffant, dont les deux principaux points sont la limitation du mandat à la stabilité des prix et le droit de vote aux décisions du FOMC donné à toutes les Fed régionales.
Le bilan de la Fed, qui atteint plus de 4 000 milliards de dollars, a encore augmenté de près de 30 % en deux ans, alors que celui de la BCE, avec 2 200 milliards d’euros (3 000 milliards de dollars), a diminué d’environ 25 % durant ces 2 dernières années.
Le régime de croissance a-t-il été durablement altéré par la crise financière ? Dans les pays qui ont recouvré une croissance alerte, les marchés anticipent un taux d’intérêt réel très bas pour longtemps. Cette anomalie pourrait indiquer un affaiblissement des ressorts de la croissance de long terme.
Le ralentissement progressif des achats de titres par la Fed a relancé le débat sur la vulnérabilité des pays émergents face à la volatilité des flux des capitaux étrangers. Comment les banques centrales des pays émergents peuvent-elles gérer ces flux qui menacent la stabilité du système financier ?
The decline in investment rates in the euro area following the global financial crisis has been sharp. And it looks as though it will not reverse significantly. Rebooting investment and channeling investable funds to the right places on the continent is therefore a major challenge for policy makers.
Lors du dernier G20 finance, pays avancés et pays émergents se sont opposés sur la responsabilité des importants mouvements de capitaux qui ont déstabilisé de nombreuses monnaies de ces pays.
Les indices de prix à la consommation ont fortement ralenti ces dernières années. À 0,8-1 %, l'inflation est nettement en-dessous de l’objectif à moyen terme de la BCE, de 2 %.
Lors de paniques financières, les investisseurs cherchent à se protéger en délaissant leurs actifs risqués pour s’orienter sur des actifs sans risque ou des valeurs refuges. Des monnaies peuvent-elles jouer ce rôle ? Une récente étude du CEPII montre que seuls le dollar et le yen sont candidats à ce statut.
L’avenir des bitcoins est incertain. Elles pourraient être une source d’inspiration pour diminuer les coûts de transactions associés aux systèmes de paiement. Mais derrière l’utopie d’une monnaie libertarienne peut se cacher un risque collectif.
La sortie de la politique monétaire de très bas taux d’intérêt couplée à des achats systématiques de titres publics longs suscite des inquiétudes. Quelles en sont les modalités ? Quels en sont les risques pour l’économie américaine et le reste du monde ?
Les performances chinoises incitent certains à estimer qu’elles pourraient s’étendre au domaine monétaire et que le yuan pourrait supplanter le dollar comme grande devise internationale. Mais la monnaie chinoise n’exerce pas encore les fonctions nécessaires pour devenir une telle devise.
Mme Yellen, qui prend la tête de la Réserve Fédérale américaine le 1er février, devra piloter de manière fine la sortie du quantitative easing et définir la manière dont la FED peut rendre compatible ses objectifs macro-économiques de court terme et la nécessaire préservation de la stabilité financière.
Billet du 27 novembre 2013 Par Urszula Szczerbowicz
Pendant longtemps considérés impossibles à mettre en œuvre, les taux d’intérêt négatifs sur les dépôts des banques commerciales auprès la banque centrale sont de plus en plus souvent évoqués comme une option pour la Banque centrale européenne (BCE).
La BCE a récemment abaissé son taux directeur, de 0,5 % à 0,25 %, alors que les marchés avaient conclu de ses communications précédentes qu’une telle baisse n’était pas pour tout de suite. Cette mesure semble destinée à convaincre de sa volonté de rester accommodante pendant encore un certain temps.
Billet du 23 octobre 2013 Par Urszula Szczerbowicz
Au Japon, le gouvernement de Shinzo Abe avait insufflé, dès la fin 2012, un nouveau dynamisme dans la politique monétaire du pays. Cela s’est concrétisé par le programme d’assouplissement monétaire quantitatif et qualitatif (QQE). Que peut-on en attendre ?
Le Mécanisme Européen de Stabilité s’apprête à émettre son premier emprunt obligataire sur les marchés. Nul ne doute que ce sera un succès et qu’il sera émis à un taux d’intérêt modéré, reflétant l’amélioration très nette de la perception de la zone euro par les marchés.
Dans une intervention récente, Mario Draghi, constatant que la reprise économique en Europe était encore très modeste, et se demandant comment la BCE pouvait contribuer à la renforcer, évoquait une nouvelle action de LTRO. La garantie de liquidités à long terme accordée aux banques serait une incitation à distribuer des crédits. Une incitation qui n’a guère fonctionné jusqu’à maintenant.
Aux Etats-Unis, les FED régionales sont de facto des filiales de la FED centrale. L’apurement des créances et des dettes entre-elles par transfert d’actifs est un simple jeu d’écritures.
La Chine a connu 20 jours d’agitation financière délibérément provoqués par la banque centrale. Cet épisode insolite dans un pays qui révère la stabilité doit être interprété comme un coup de semonce donné aux banques d’avoir à changer leur gestion du risque et absorber les pertes dues à leur comportement passé.
Depuis le début de la crise, les banques centrales de la zone Euro ont accumulé des créances et des dettes entre elles. Ces encours publics, les « soldes Target 2 », se sont substitués aux encours privés, notamment aux prêts interbancaires, et aucun mécanisme n’est prévu pour les solder. En cas d’éclatement de la zone, ils deviendraient exigibles.
Les propos du président de la réserve fédérale (Fed), annonçant, ou plutôt laissant envisager un possible arrêt des rachats massifs de titres de dette (essentiellement publique) dans les prochains mois, ont provoqué une réaction négative des marchés avec une hausse générale des taux obligataires.
Au lendemain de la conférence de presse de Ben Bernanke du 19 juin, tous les symptômes d’un stress financier majeur se sont déclenchés. Pourquoi l’annonce de bonnes nouvelles sur l’amélioration de l’emploi et le retour prochain à une croissance entraîne-t-elle de telles réactions ?
Les différentes étapes du développement de la crise en zone euro ont monté l'importance de mettre en place une union bancaire. Préciser son contenu et son fonctionnement soulève des difficultés majeures, ce qui va obliger les européens à clarifier quelques principes fondamentaux.
Comme les crises qui se succèdent depuis 2007 l'ont montré, les Etats agissent comme garants en dernier ressort du système financier. Cela restera vrai dans le futur, même si une meilleure régulation et la mise à contribution des créanciers des institutions financières permettent de mieux circonscrire les risques supportés par les contribuables.
Depuis le démarrage et l’essor des opérations dites « non conventionnelles » des grandes banques centrales, une expression fait florès chez les journalistes, celle de « planche à billets » qui serait, d’après eux, vigoureusement actionnée par les instituts d’émission. Cette expression imagée permet d’expédier la question des incidences exactes de ces opérations.
La récente bulle spéculative sur les Bitcoins et les réflexions sur l’introduction de monnaies parallèles officielles dans les pays de la zone Euro incitent à la prudence
Les dirigeants de la Bundesbank avaient vigoureusement tiré la sonnette d’alarme sur les risques que le projet d’union bancaire faisait courir à l’indépendance de la BCE. Un article récent de Jens Weidman, président de l'institution, relance le débat.
Billet du 18 avril 2013 Par Gunther Capelle-Blancard
Alors que l’idée d’instaurer une taxe sur les transactions financières (TTF) à l’échelle européenne est sur le point d’aboutir, les professionnels de la finance montent au créneau pour dénoncer cette taxe qu’ils jugent à la fois contre-productive , démagogique… et particulièrement coûteuse.
L’univers du « central banking » connaît des remous depuis quelque temps, du fait de tentatives avérées – et plutôt réussies pour l’instant – du pouvoir politique dans plusieurs pays pour porter atteinte à l’indépendance de la Banque centrale.
Afin de comprendre l’attitude du nouveau gouvernement de Shinzo Abe face à la banque centrale du Japon, il est intéressant de comparer la politique monétaire du Japon récente à celle mise en œuvre dans les années 2000 ainsi qu’aux mesures prises par la Fed en réponse à la crise financière.
La crise chypriote n’est pas une surprise. Si l’Etat est en faillite c’est qu’il doit recapitaliser un système bancaire trop gros pour lui. Plus étonnantes sont les options qui se dessinent pour résorber la crise.
Billet du 18 mars 2013 Par Olena Havrylchyk, Svetlana Ledyaeva
Avec le nouveau plan de sauvetage du secteur bancaire, Chypre tente de conserver son statut de centre financier offshore très prisé par les investisseurs russes. Ce plan en vaut-il la peine ?
La mise en œuvre d’un mécanisme de réduction automatique des dépenses n’a pu être stoppée à temps, mais des modifications pourraient intervenir dès la fin mars.
Justifier l’indépendance des banques centrales par l’autonomie de la sphère monétaire n’est plus possible aujourd’hui. La question est celle du partage du pouvoir entre les politiques et les techniciens dans une démocratie.
Les banques centrales se préoccupent de la sortie des politiques monétaires non conventionnelles et des conséquences éventuelles sur l’inflation et sur la stabilité financière. Mais il serait naïf de croire qu’elles vont revenir, sans autre forme de procès, au ciblage de l’inflation.
Le Japon a mis la presse en émoi : c’est la guerre des changes ! Mais que ce soit dans les années 1930 ou dans la période actuelle, il n’y a pas de volonté délibérée de rejeter les conséquences de la crise sur les autres pays. Les mouvements de change résultent de l’échec de la coopération internationale.
On January 30, 2013, the IMF Executive Board issued a short report on the outcome of its discussion regarding the quota formula review. Judging from the extent of remaining disagreement, the objective of completing the review by 2013 is not met and there is still a long way to go.
Billet du 8 février 2013 Par Gunther Capelle-Blancard
Dans le cadre du projet de loi sur la réforme bancaire, la Commission des finances de l’Assemblée Nationale a adopté cette semaine un amendement qui imposera aux banques de détailler leurs activités à l’étranger, y compris donc – et surtout – dans les paradis fiscaux.
Billet du 31 janvier 2013 Par Urszula Szczerbowicz
The last 5 years have been a major challenge for the theory and practice of monetary policy. The key channel of conventional monetary policy has been severely impaired and the target policy rates in some countries have approached zero.
L’accord in extremis entre la Maison Blanche et la majorité républicaine du Congrès a été en trompe-l'oeil. Il a évité une récession brutale mais n’a abordé aucun des problèmes qui se reflètent dans la dérive de la dette publique.
Billet du 19 novembre 2012 Par Urszula Szczerbowicz
Restaurer le bon fonctionnement des marchés interbancaires était un des objectifs clés lors de la prise de fonction de Mario Draghi à la BCE. Un an et deux LTRO plus tard, cette mission semble accomplie.
Audio du 27 septembre 2012 Par Agnès Bénassy-Quéré
Retranscription écrite de l'émission du 27 septembre "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38.
The banking reforms that took place in India in the mid 90s have improved the availability of credit. However, the effects of financial development on firms’ growth appear to be unequal depending on their characteristics. Where are the gains from credit expansion concentrated?
Audio du 20 septembre 2012 Par Agnès Bénassy-Quéré
Retranscription écrite de l'émission du 20 septembre "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38.
La BCE s’engage dans un nouveau programme d’achat des titres souverains pour endiguer la fragmentation de l’espace financier européen. C’est une opération de soudure qui donne encore un peu de temps aux gouvernements, mais qui les met pleinement devant leurs responsabilités.
On 12 of September, the European Commission (EC) has unveiled its proposal that shifts banking supervision to the European level, giving sweeping supervisory powers to the ECB.
Audio du 13 septembre 2012 Par Agnès Bénassy-Quéré
Retranscription écrite de l'émission du 13 septembre "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38
Billet du 7 septembre 2012 Par Urszula Szczerbowicz
Hier (le 6 septembre), la Banque centrale européenne (BCE) a fait une annonce longuement attendue par de nombreux acteurs de marché : elle s’est engagée à racheter, sans limite mais sous conditions, les obligations souveraines à court terme des pays de la zone euro.
Retranscription écrite de l'émission du 6 septembre "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38
Le symposium annuel des banquiers centraux à Jackson Hole est un événement très attendu en ces temps de crise. Cette année l’interrogation portait sur l’efficacité des politiques monétaires non conventionnelles et la capacité de les poursuivre. L’exposé de Ben Bernanke met en lumière les handicaps de la zone euro.
Billet du 13 juillet 2012 Par Gunther Capelle-Blancard, Jézabel Couppey-Soubeyran
Le collectif budgétaire annoncé début juillet prévoit le doublement de la taxe sur le risque systémique. Cette taxe s’applique déjà depuis le 1er janvier 2011 aux grandes banques françaises. Elle a suscité de vives réactions au sein du secteur bancaire et de ses représentants.
Billet du 10 juillet 2012 Par Urszula Szczerbowicz
Jeudi dernier (le 5 juillet), la Banque centrale européenne (BCE) a décidé de baisser son taux de refinancement à 0,75%, franchissant pour la première fois le plancher historique de 1%. Plus important encore, elle a réduit à 0% la rémunération des dépôts au jour le jour.
La Bank of China propose désormais à ses clients en France d’ouvrir un compte en Renminbi, la monnaie chinoise. Il s’agit d’une avancée certes modeste mais symbolique des grandes manœuvres qui se déroulent depuis deux ans autour de la monnaie de la seconde économie mondiale.
Faits & Chiffres du 12 juin 2012 Par Agnès Bénassy-Quéré, Yves-Emmanuel Bara
Quelle est l’exposition de la zone euro et en particulier de la France à un défaut grec ? Il est difficile de répondre à cette question car seuls les coûts directs peuvent être évalués et ils ne sont pas tous de même nature.
Retranscription écrite de l'émission du 31 mai "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38
Retranscription écrite de l'émission du 24 mai "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38
Retranscription écrite de l'émission du 15 mars "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38.
Retranscription écrite de l'émission du 16 février "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38.
Retranscription écrite de l'émission du 9 février "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38.
Retranscription écrite de l'émission du 2 février "Les idées claires d'Agnès Bénassy Quéré", chronique hebdomadaire sur France Culture le jeudi matin à 7h38.