Par arrêté du Premier ministre en date du 18 décembre 2012, M. Sébastien JEAN est nommé directeur du Centre d’études prospectives et d’informations internationales.
Billet du 13 décembre 2012 Par Benjamin Carton, Christophe Destais, Sophie Piton, Agnès Bénassy-Quéré, Yves-Emmanuel Bara
Les Européens ont fourni des réponses inégales aux différents volets de la crise. Le premier Policy Paper G-MonD fait un point sur ces avancées et discute des défis qu'il reste à affronter.
Les investissements directs étrangers sont souvent perçus comme favorisant la montée en gamme de la production industrielle et la croissance. Une étude du CEPII infirme ces attentes : sans l’appropriation des technologies étrangères par les entreprises domestiques, ils ont des retombées limitées.
Le 18e congrès du parti communiste chinois a rendu son verdict. La composition du comité permanent du bureau politique (standing committee) détermine le nouveau leadership politique. Du point de vue de la nouvelle phase de la réforme chinoise, ce leadership est ambigu.
Billet du 19 novembre 2012 Par Urszula Szczerbowicz
Restaurer le bon fonctionnement des marchés interbancaires était un des objectifs clés lors de la prise de fonction de Mario Draghi à la BCE. Un an et deux LTRO plus tard, cette mission semble accomplie.
Entré en vigueur en décembre 2011, le « Six pack » introduit un mécanisme de surveillance des déséquilibres macroéconomiques. Les dix indicateurs retenus afin d’alerter des risques de déséquilibre ne semblent pas apporter beaucoup par rapport à la simple observation des déséquilibres extérieurs courants.
Les Etats-Unis sont le pays où le déni du changement climatique est poussé à l’extrême. C’est aussi celui où l’Etat fédéral n’investit plus en infrastructures de transports publics et où les Etats ne sont pas en mesure de moderniser leurs moyens vétustes. Sa vulnérabilité aux événements extrêmes est révélée par Sandy.
Le fléchissement de la croissance chinoise en 2012 résulte de facteurs conjoncturels mais aussi de changements structurels dans l'économie. Une croissance plus lente que dans le passé semble désormais inévitable, même si le rattrapage continue.
Les liens entre prix des matières premières et marchés boursiers se sont renforcés avec la crise financière récente, limitant les possibilités de substitution dans la constitution de portefeuilles.