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Faible croissance, grands profits : l'international au secours de la rentabilité des groupes |
Réunion |
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14 juin 2007 |
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Les grands groupes industriels français affichent des performances économiques bien meilleures que celles de l’économie nationale. Comment expliquer ces disparités, ces écarts entre les taux de croissance de l’économie et ceux des entreprises ?
Doit-on en conclure que les grandes entreprises se détournent du marché domestique pour privilégier l’offre et la demande extérieures et deviennent ainsi de moins en moins dépendantes de la conjoncture française voire européenne ? Cette stratégie de développement à l’international leur permettrait de profiter, entre autres, de la croissance des grands émergents, de diversifier leurs prises de risques, et de bénéficier de l’intégration financière et de la mobilité des capitaux. Il n’est pas exclu que derrière ces évolutions observées des biais statistiques entachent les comparaisons effectuées. Et surtout, il peut être difficile de dissocier les performances sur le marché national et l’activité réalisée à l’international. |
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Pierre Sicsic |
Directeur, Direction Balance des Paiements, Banque de France |
Intervenants |
Emmanuel Raulin |
Chef du département Système statistiques des entreprises, INSEE |
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Jean-Paul Betbèze |
Directeur des études économiques, Crédit Agricole S.A. |
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Yves Robin |
Chef du service des Etudes statistiques industrielles, SESSI, ministère de l’Industrie |
Discutant |
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Lionel Fontagné |
Professeur, Université Paris I Panthéon Sorbonne
Conseiller scientifique au CEPII
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Président |
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Faible croissance, grands profits : l'international au secours de la rentabilité des groupes
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