Jusqu’à présent, les Etats-Unis ont privilégié l’abondance énergétique pour soutenir la croissance, alors que l’Europe adoptait une position de pointe dans la lutte contre le changement climatique.
La nouvelle présidence américaine change de cap et veut faire des « investissements verts » un instrument de relance face à la crise.
L’Europe de son côté durcit ses objectifs d’utilisation d’énergies renouvelables et de baisse d’émissions de gaz à effet de serre. Les deux approches, américaine et européenne, peuvent-elles converger ? |