Le 18 septembre, l’ouvrage annuel du CEPII, L’économie mondiale 2016, publié par La Découverte dans sa collection Repères, sera dans toutes les bonnes librairies. Ses deux rédactrices en chef vous en dévoilent, dès à présent, quelques-uns des principaux enseignements.
La publication par la Banque Centrale Européenne de son rapport annuel sur le rôle international de l’euro invite à prendre du champ par rapport à la frénésie collective qui s’est diffusée autour de la question grecque. Que nous enseigne ce nouvel opus ?
Écologistes et défenseurs du libre-échange s’affrontent régulièrement sur les conséquences environnementales de la libéralisation commerciale. L’exemple chinois constitue un cas d’école : son insertion dans le commerce international s’est accompagnée d’une exacerbation des problèmes de pollution.
Les pays de la zone Euro ont beaucoup insisté pour que le FMI apporte des financements dérogatoires à la Grèce, on le leur rappellera à l’heure des comptes.
Exportations et ventes domestiques des entreprises françaises sont complémentaires : une hausse (baisse) de 10 % des exportations engendre, la même année, une augmentation (réduction) des ventes domestiques de 1 % à 3 %. Cela tient aux contraintes de liquidité auxquelles font face les entreprises.
Il est temps de faire le point. Après une enfance (presque) paisible sous l’égide de son premier président, le Néerlandais Wim Duisemberg, la Banque centrale européenne (BCE) a traversé des épreuves qui ont trempé son caractère.
Du 21 au 23 mai, la BCE a organisé l'édition 2015 du forum annuel sur les banques centrales. Le discours inaugural de Mario Draghi, ainsi que les discussions du 23 mai, ont porté essentiellement sur la nécessité de réformes structurelles pour renforcer la croissance en Europe.
L’Europe a été déçue de la proposition de réduction des émissions de GES par le Japon dans le cadre de la COP 21 : - 25,4 % entre 2005 et 2030. Le Japon pourrait néanmoins contribuer à faire avancer le dossier climat par ses technologies et des expériences originales.
Depuis le début de 2015, la BCE s’est engagée sur la voie des rachats de titres de dette sur le marché, imitant ainsi la Fed qui avait, dés le début de la crise, pratiqué ces opérations sur une grande échelle.