Post, September 17, 2015 By Etienne Espagne, Baptiste Perrissin Fabert
The aim of this webpage, co-hosted by France Stratégie and CEPII, is to provide a medium for experts and non-experts to discuss the merits and the limits of the various proposals and initiatives in the field of international finance. It is intended to become a forum where the debate on the financial system’s contribution to the energy transition can flourish.
The decision to change the exchange rate regime of the renminbi taken by the Chinese authorities at the beginning of August might be less a response to the economic downturn than a further step, against all odds, in a bold but risky financial liberalization agenda.
Ils n’avaient de commun qu’une croissance vigoureuse et la volonté de briser l’hégémonie des pays avancés dans les grandes institutions internationales. Ils étaient presque unanimement considérés comme des terres d’avenir appelées à rapidement reléguer les vieux pays, et en particulier l’Europe, dans la deuxième division de l’économie mondiale.
Le 18 septembre, l’ouvrage annuel du CEPII, L’économie mondiale 2016, publié par La Découverte dans sa collection Repères, sera dans toutes les bonnes librairies. Ses deux rédactrices en chef vous en dévoilent, dès à présent, quelques-uns des principaux enseignements.
La publication par la Banque Centrale Européenne de son rapport annuel sur le rôle international de l’euro invite à prendre du champ par rapport à la frénésie collective qui s’est diffusée autour de la question grecque. Que nous enseigne ce nouvel opus ?
Écologistes et défenseurs du libre-échange s’affrontent régulièrement sur les conséquences environnementales de la libéralisation commerciale. L’exemple chinois constitue un cas d’école : son insertion dans le commerce international s’est accompagnée d’une exacerbation des problèmes de pollution.
Back in 2010, the Eurozone countries insisted a lot that the IMF provides exceptional financing to Greece. They will be duly reminded when the reckoning moment has come.
Exportations et ventes domestiques des entreprises françaises sont complémentaires : une hausse (baisse) de 10 % des exportations engendre, la même année, une augmentation (réduction) des ventes domestiques de 1 % à 3 %. Cela tient aux contraintes de liquidité auxquelles font face les entreprises.