Reconduit à la tête de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan va devoir traiter en urgence l'inflation galopante, la dévalorisation de la monnaie et la dette publique croissante. Va-t-il changer sa politique économique pour produire les résultats attendus par ses électeurs ?
Ce 14 mai, 64 millions de Turcs étaient appelés aux urnes dans une élection très attendue... Des résultats serrés et d'abord contestés entre Kemal Kiliçdaroglu et le président sortant, Recep Tayyip Erdogan. Comment sont acceptés les résultats ?
L’immigration suscite des craintes persistantes, en partie liées à la perception qu’immigration et délinquance vont de pair. Celle-ci repose principalement sur l’observation d’une surreprésentation des étrangers (immigrés n’ayant pas acquis la nationalité française) dans les statistiques sur la délinquance.
Les deux économistes alertent, dans une tribune au « Monde », sur le fait que les politiques de réindustrialisation visant à respecter les engagements climatiques négligent l’impact d’un tel choc sur le marché du travail.
Recep Tayyip Erdogan, à la tête du pays depuis 20 ans, joue sa survie politique lors des élections présidentielle et législatives qui auront lieu en Turquie, le 14 mai prochain. Ce podcast s'interroge sur une éventuelle victoire de l’opposition et l'impact sur la politique extérieure du pays.
En un an, les prix auraient grimpé de plus de 60% en Turquie selon les chiffres officiels, 110% selon des indépendants. Alors que la croissance avait permis au président Erdogan de s'attirer les faveurs de larges pans de la population, les déboires économiques actuels pourraient signer sa chute.