Au programme cette année :

La rituelle vue d’ensemble, qu’Isabelle Bensidoun et Thomas Grjebine ont intitulé Le temps de l’offre pour souligner à quel point les chocs d’offre, mais également les politiques de l’offre, dans leur version moderne, changent la donne.

Un chapitre sur la Chine dans lequel Michel Aglietta et Camille Macaire s’interrogent sur Quelle nouvelle ère pour la Chine ? et s’attachent à retracer les défis de la prospérité intérieure et de l’affirmation internationale de l’empire du Milieu.

Une analyse de Céline Antonin sur le modèle allemand en souffrance, où la question est de savoir s’il s’agit d’une fatigue passagère ou d’une affection profonde.

Une exploration, par Romain Capliez, Carl Grekou, Emmanuel Hache et Valérie Mignon, des mesures que l’Union européenne peut mettre en place pour s’extraire de sa dépendance à la Chine sur les matières premières critiques.

Une présentation, par Antoine Bouët, Leysa Maty Sall et Jeanne Métivier, d’un système commercial multilatéral pour le moment sur le fil du rasoir, mais auquel l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait porter un coup fatal.

Un examen, par Axelle Arquié et Thomas Grjebine, des conséquences de l’essor de l’IA et de la transition écologique sur la création de valeur, sa répartition, le travail et sa rémunération.

Enfin, un chapitre sur les pertes des banques centrales dans lequel Éric Monnet et Théodore Humann nous rassurent en explicitant comment les banques centrales peuvent les supporter sans mal, tout en rappelant qu’il s’agit d’un enjeu autant politique que financier.

Sans oublier, l’habituelle base de données sur l’économie mondiale constituée par Pierre Cotterlaz.

Bonne lecture !

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