A l’heure où les prix de l’immobilier semblent amorcer une baisse en France, regarder leurs évolutions de long terme permet d’éclairer sur les risques d’une chute brutale.
Il serait facile d’ironiser sur la déconvenue de ceux chez qui les actions du gouvernement japonais (les « abenomics ») ont suscité une « japomania » aiguë. Selon une première estimation, le PIB japonais avait crû de 4,2 % en rythme annuel au premier trimestre 2013.
Le traitement du chômage des jeunes en Europe dont se sont saisi le Conseil européen les 27 et 28 juin 2013 et la conférence qui s’est tenue à Berlin le 3 juillet, sous l’égide de Madame Merkel, cristallise des attentes mais pointe aussi des enjeux de formation dans les entreprises.
Plus de vingt ans après l’Immigration Act, le sénat américain vient de voter un projet de réforme globale de la politique d’immigration. Ce projet de loi inclut la régularisation des migrants clandestins, des changements dans les modalités d’entrée légale et le renforcement de la lutte contre l’immigration illégale.
Aux Etats-Unis, les FED régionales sont de facto des filiales de la FED centrale. L’apurement des créances et des dettes entre-elles par transfert d’actifs est un simple jeu d’écritures.
La Chine a connu 20 jours d’agitation financière délibérément provoqués par la banque centrale. Cet épisode insolite dans un pays qui révère la stabilité doit être interprété comme un coup de semonce donné aux banques d’avoir à changer leur gestion du risque et absorber les pertes dues à leur comportement passé.
Depuis le début de la crise, les banques centrales de la zone Euro ont accumulé des créances et des dettes entre elles. Ces encours publics, les « soldes Target 2 », se sont substitués aux encours privés, notamment aux prêts interbancaires, et aucun mécanisme n’est prévu pour les solder. En cas d’éclatement de la zone, ils deviendraient exigibles.
Les propos du président de la réserve fédérale (Fed), annonçant, ou plutôt laissant envisager un possible arrêt des rachats massifs de titres de dette (essentiellement publique) dans les prochains mois, ont provoqué une réaction négative des marchés avec une hausse générale des taux obligataires.
La réforme des prix subventionnés est un sujet sensible et récurrent en Égypte. La confusion dans laquelle de nouvelles mesures sont annoncées et l’enlisement des discussions avec le FMI sont symptomatiques de l’impuissance du gouvernement à s'attaquer aux défaillances structurelles de l’économie.