Le blog du CEPII

Coronavirus : un grain de sable dans l’économie mondiale

 Billet du 2 mars 2020
Par Michel Fouquin, Jean-Raphaël Chaponnière
L’épidémie de coronavirus (le COVID-19) est un choc majeur à court terme pour l’économie chinoise, et devrait avoir des conséquences durables et mondiales à plus long terme. Ce choc intervient dans une phase d’incertitudes marquées notamment par le ralentissement de la croissance chinoise et par la forte montée des tensions protectionnistes dans le monde. La gravité de cette crise dépasse en ampleur celles des précédentes épidémies qui ont suivies la seconde guerre mondiale. Elle souligne tout particulièrement la fragilité d’une économie mondiale fortement globalisée et ouvre sans doute une phase marquée de repli sur les régions.

Le secteur du transport est le premier touché par la crise du coronavirus

 Billet du 12 février 2020 - Dans les médias
Par Sébastien Jean
En raison de l’épidémie du coronavirus, l’activité des entreprises chinoises est très fortement perturbée. Et les objectifs de croissance du pays sont déjà revus à la baisse. Mais au-delà de la Chine, premier importateur et exportateur au monde, c’est l’ensemble de l’économie mondiale qui est susceptible d’être affectée, dont la France. Sébastien Jean répond aux questions des internautes sur les conséquences économiques de l’épidémie.



Entre la Chine et les États-Unis, "c’est seulement une trêve commerciale qui a été signée, pas la paix"

 Billet du 30 janvier 2020 - Dans les médias
Par Sébastien Jean
L’accord sino-américain, signé mercredi 15 janvier 2020, marque un tournant. Les échanges commerciaux, autrefois régis par des règles multilatérales, risquent de dépendre davantage des rapports de force entre États. Sébastien Jean interviewé par Julien Bouissou pour Le Monde du 16 janvier 2020



Brexit: le défi de la négociation commerciale avec l’Union européenne

 Billet du 2 janvier 2020 - Dans les médias
Par Sébastien Jean
Boris Johnson a assuré que Londres entendait boucler les négociations sur les futures relations commerciales entre le Royaume-Uni et l’UE d’ici fin 2020. Or, il n’existe aucun précédent de divorce commercial de cette ampleur, et boucler une négociation aussi complexe en onze mois constitue un véritable défi, qui nécessitera de bien choisir ses priorités.
Interview parue dans l’Opinion.fr le 15 décembre 2019.



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